Une fois encore, certains milieux nourris par les ambitions inavouées s’agitent et distillent de fausses informations dans l’espace public, espérant semer la confusion autour de la dynamique au sein de l’Union Progressiste le Renouveau (UP-R). Leur cible ? Le président Joseph Fifamè DJOGBÉNOU, dont le leadership rigoureux et fédérateur dérange plus d’un.
Contrairement aux insinuations récentes sur une supposée manœuvre solitaire de DJOGBÉNOU pour s’imposer en 2026, la vérité est tout autre. À aucun moment, une réunion à huis clos n’a abouti à une décision arrêtée sur un quelconque candidat. Le chef de l’État, garant de l’unité de la mouvance, n’a jamais tenu les propos qui lui sont prêtés. L’usage du conditionnel dans certains récits trahit d’ailleurs l’amateurisme de ceux qui, sans preuves, cherchent à manipuler l’opinion.
Ce qu’il convient de retenir, c’est que les deux grands blocs politiques de la majorité présidentielle sont engagés, depuis plusieurs mois, dans un processus d’unification des stratégies. Et cela n’a rien d’un diktat personnel.
DJOGBÉNOU ne travaille pas en dehors des cadres. Il agit conformément aux principes démocratiques qui régissent l’Union Progressiste le Renouveau, un parti structuré, organisé et respectueux de ses instances.
Les réunions internes, qualifiées à tort de « secrètes », relèvent d’une tradition de concertation et de construction collective. C’est cela la force du parti : rien ne se décide au hasard, et chaque option stratégique est issue d’un consensus. Le président DJOGBÉNOU, loin d’imposer une quelconque ambition personnelle, œuvre à la consolidation du parti et à sa préparation sérieuse pour les défis à venir.
Qu'on se le tienne pour dit : le choix du candidat pour 2026, s’il doit venir, ne sera ni le fruit d’une improvisation, ni celui d’une pression extérieure. Il émanera d’un travail de fond, dans la cohérence et le respect de la ligne politique commune. Et si DJOGBÉNOU doit porter ce flambeau, ce sera parce qu’il en aura été investi par les siens, dans la transparence et l’unité.
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