Actualités
+229 01 97 90 46 40

Présidentielle de 2026 au Bénin

Ces feux croisés qui visent à torpiller la dynamique de l’UP-R

Ces feux croisés qui visent à torpiller la dynamique de l’UP-R

À l’approche de la grande bataille électorale de 2026, les trahisons à visage découvert et les manœuvres d’arrière-cour s’intensifient dans les coulisses de la mouvance présidentielle. Ce qui devait être un moment de consolidation pour la majorité, s’apparente désormais à un terrain de sabotage orchestré par certains apprentis stratèges désireux de se frayer un chemin dans l’ombre, au mépris de la discipline collective et des acquis patiemment construits sous le leadership du Président Patrice Talon.

Un tir groupé contre Joseph Djogbénou

Dans cette entreprise de déstabilisation, les attaques répétées et méthodiquement alignées sur la personne du président de l’Union Progressiste le Renouveau, Joseph Djogbénou, ne sont pas anodines. Elles obéissent à une logique de nuisance bien huilée, où médias complices et officines peu scrupuleuses rivalisent de diffamation. À travers des récits cousus de fil blanc, des montages éhontés et des amalgames grossiers, c’est une véritable campagne d’intoxication qui est menée contre un homme dont l’engagement, la loyauté et la constance ne sont plus à démontrer.

Mais que reproche-t-on fondamentalement à Joseph Djogbénou ? Sa proximité avec les militants ? Sa capacité à fédérer et à tenir le cap dans une période politique charnière ? Son lien naturel avec le président Talon dans une perspective de continuité et de stabilité ?

Une entreprise de division au service de l’ambition personnelle

Il serait naïf de croire que ces attaques surgissent du néant. Elles sont la signature amère de certains acteurs de la majorité, frustrés de ne pas avoir trouvé place à la table du leadership, et désormais prêts à compromettre l’unité du groupe pour satisfaire des désirs personnels. En sabotant les efforts collectifs, ces pyromanes politiques oublient qu’ils s’en prennent, non seulement à un homme, mais à toute une dynamique politique bâtie sur la cohésion, la rigueur et le travail.

Ils oublient aussi que leur action est une insulte à l’intelligence politique de Patrice Talon, homme de stratégie, dont la vision a permis l’émergence d’un modèle politique nouveau, où les intérêts personnels ne peuvent primer sur l’intérêt collectif.

La Rupture, une construction à défendre

À l’heure où la majorité présidentielle devrait parler d’une seule voix pour offrir au peuple béninois un avenir de stabilité et de progrès, certains préfèrent s’illustrer dans des logiques centrifuges. Ces attitudes sont non seulement contre-productives, mais dangereusement porteuses d’instabilité. Elles sapent les fondations du projet politique incarné par la Rupture et fragilisent la préparation des échéances à venir.

Il est encore temps, pour les acteurs égarés, de faire preuve d’humilité, de revenir à la raison et de rallier le socle commun. L’heure n’est plus aux querelles intestines ni aux ambitions mal dissimulées. L’heure est à l’unité, au sens des responsabilités et à la fidélité aux engagements pris devant le peuple.

Car en définitive, ce n’est pas seulement un homme ou un parti que ces manœuvres visent : c’est le destin d’une nation qui se joue.

Footer - L'Emblème du Jour